Le site des Moulins de France
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Avertissement

Cet article n’a pas été écrit pour les propriétaires de moulins qui délèguent l’entretien de leur rivière à des syndicats de rivière mais pour ceux qui viennent d’acheter leur moulin et qui n’ont personne pour les guider dans une spécialité délicate qu’ils vont avoir à découvrir, parfois à leurs dépens. Il n’engage que la responsabilité de son auteur.

L’article L. 215-14 du nouveau Code de l’Environnement (ex Art. 114 du Code rural) le curage comprend tous les travaux nécessaires pour rétablir un cours d’eau dans sa largeur et sa profondeur naturelles.
Le curage consiste en premier lieu, pour rétablir ces limites naturelles, à extraire du lit du cours d’eau les atterrissements qui ne sont pas encore des alluvions, ainsi que les dépôts de vase, sables et graviers. Dans la jurisprudence, le curage comprend également :
– le faucardage des herbes aquatiques et des joncs ;
– l’enlèvement des arbres et plantations dans le lit, l’arrachage des arbres qui nuisent à l’écoulement des eaux sans être indispensables à la défense des rives, l’enlèvement des arbres empiétant sur le lit en saillie ou en surplomb par rapport aux berges ;
– la réfection des berges ;
– l’élagage des branches ainsi que des buissons ou arbustes pendant sur le cours d’eau.

Par ailleurs, l’article L. 432-1 du Code de l’Environnement (ex L. 232-1 du Code rural, introduit par la loi du 29 juin 1984 relative à la pêche en eau douce et à la gestion des ressources piscicoles), dispose que “Tout propriétaire d’un droit de pêche, ou son ayant cause, est tenu de participer à la protection du patrimoine piscicole et des milieux aquatiques. A cet effet, il ne doit pas leur porter atteinte et, le cas échéant, il doit effectuer les travaux d’entretien, sur les berges et dans le lit du cours d’eau, nécessaires au maintien de la vie aquatique.” (1) D’autre part, il faut signaler que les écologistes, par l’intermédiaire des associations de protection de la nature, peuvent exercer des actions contentieuses si les riverains entreprennent des travaux dangereux dans le domaine de l’eau et des rivières comme dans les autres domaines de l’environnement. Ainsi, nous voyons que l’entretien d’une rivière doit satisfaire le riverain qui réalise les travaux mais aussi le pêcheur et l’écologiste qui ont accès à la rivière. Les préoccupations de ces trois catégories d’usagers étant différentes, il arrive que la rivière soit l’objet de conflits. Il est naturellement de l’intérêt général que les propriétaires de moulins évitent de les provoquer quand ils appliquent leurs obligations liées à l’entretien des cours d’eau et des biefs. Schématiquement, les écologistes souhaitent laisser faire la nature, ce qui sousentend qu’ils veulent que la rivière puisse se déplacer sans contrainte dans son “espace de liberté”. Ils ne sont pas pour un entretien très poussé de la rivière. Quant aux pêcheurs, la quantité de leurs associations fait qu’ils ont des voeux nombreux (eau non polluée, eutrophisation, zones de reproduction et abris) et parfois contradictoires (libre circulation des poissons). Ils ne souhaitent pas non plus que la rivière soit canalisée et trop débarrassée des embâcles. Le Conseil Supérieur de la Pêche est maintenant contre le terme curage qui est synonyme d’excès. En effet, le curage a, dans le passé, souvent été réalisé à des fins purement hydrauliques avec des engins mécaniques en automne-hiver, sans se soucier des frayères qu’il détruisait. Quant au faucardage, les pêcheurs regrettent qu’il se fasse souvent pendant la période de pêche, lors du développement de la végétation. Traitons tout d’abord des questions chères aux écologistes, notamment celle de l’espace de liberté des cours d’eau. Rappelons un certain nombre d’éléments concernant les cours d’eau. “Ce sont des systèmes en équilibre dynamique. Leur ajustement permanent, dans l’espace et dans le temps, aux fluctuations des débits liquides et solides, se traduit par une mobilité latérale et verticale. Cette mobilité permet d’éviter des dysfonctionnements hydrauliques et sédimentologiques majeurs. Elle est aussi le moteur d’une dynamique écologique intense, garante de la richesse et de la diversité des milieux naturels” (2). On peut également dire que, depuis la fin de la glaciation du Würm (environ moins 15000 ans), les cours d’eau se déplacent latéralement lentement dans le lit majeur que l’on connaît aujourd’hui, qu’ils érodent les berges concaves et déposent des sédiments sur les berges convexes. Cette érosion se traduit par un déplacement vers l’aval de sédiments. La quantité de sédiments déplacés et le débit du cours d’eau, en particulier pendant les inondations, déterminent la morphologie du cours d’eau, tant en section qu’en terme de profil en long (pente du cours d’eau).

De ces constatations, on peut énoncer ce qui suit :
– Toute opération significative d’extraction de sédiments dans le lit du cours d’eau, en diminuant sa charge solide, entraîne un déséquilibre morpho-dynamique et notamment une incision plus ou moins localisée du lit de la rivière à l’origine d’un abaissement de la ligne d’eau. Ces modifications des caractéristiques du cours d’eau peuvent avoir des répercussions sur l’alimentation en eau des riverains et sur la tenue d’ouvrages qui vont se déchausser.
– Toute installation de barrage bloque les phénomènes de transport solide et provoque à nouveau des déséquilibres (dépôts en amont de l’ouvrage augmentant les risques d’inondation, gain de capacité érosive du cours d’eau en aval puisqu’il a déposé sa charge). Remarquons au passage que les seuils des moulins, dont la hauteur moyenne, côté amont, n’est que de quelques décimètres, n’empêchent pas la descente des sédiments légers. Par contre, la hauteur d’eau créée augmente celle des nappes phréatiques et donc le volume d’eau retenue ou freinée.
– Toute suppression de seuil est susceptible de remettre en cause l’équilibre du cours d’eau en induisant un brusque abaissement de la ligne d’eau (augmentation des vitesses d’écoulement et de la capacité érosive du cours d’eau, etc.)
– Un travail important du cours d’eau peut engendrer le contournement de seuils et interdire l’utilisation du moulin. De là l’importance que les usiniers doivent porter à leur rivière.

D’un point de vue écologique, le texte cité permet également de dire :
– La fixation des berges à l’aide d’ouvrages durs (murs en béton, palplanches, etc…) participe à l’endiguement du cours d’eau en interdisant la mobilité du lit, à l’augmentation des vitesses d’écoulement (perte de rugosité/lissage des berges) et donc des capacités érosives de la rivière, à l’appauvrissement biologique des milieux aquatiques (suppression des annexes hydrauliques, diminution de l’habitabilité pour les peuplements notamment piscicoles, etc…) ou encore à l’augmentation des risques d’inondation à l’aval lorsqu’il s’agit d’ouvrage de protection étendu.
– Toute installation de barrage, en cloisonnant le cours d’eau, participe à la remise en cause d’un point de vue morpho-dynamique du fonctionnement des cours d’eau et appauvrit l’écosystème.

Naturellement, les canaux alimentant les moulins ne sont généralement pas exposés à des risques importants d’érosion, la vitesse de l’eau étant très faible. Ils ont surtout à craindre le manque d‘étanchéité dû au déracinement d’arbres ayant poussé trop près des berges. Pour les moulins implantés sur ou à proximité immédiate de la rivière, la situation est souvent plus préoccupante. Il n’est peut-être pas inutile de donner quelques conseils pour éviter des catastrophes. Les écologistes comprendront facilement que les propriétaires de moulins ne peuvent laisser l’érosion se développer au risque de détruire la fonction du seuil et engendrer un nouveau déséquilibre morphodynamique.

Venons-en maintenant aux questions soulevées par les pêcheurs liées à l’entretien. On ne traitera donc pas de la question de la libre circulation des poissons qui n’est pas concernée.

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Une des questions souvent évoquées est celle de l’eutrophisation révélatrice d’un déséquilibre de l’écosystème. Elle est due au phosphore, d’origine domestique, agricole ou/et industrielle, déversé dans les rivières. Elle est favorisée par de faibles hauteur d’eau et un ensoleillement trop important du lit. Elle participe à la diminution des zones de frai pour les poissons et gêne l’activité de pêche. Les propriétaires de moulins ne peuvent modifier les caractéristiques de l’eau. Par contre, ils peuvent limiter le développement des algues. Les pêcheurs souhaitent également que les poissons trouvent un milieu favorable à leur reproduction et à leur développement, ce qui sous-entend une eau non polluée mais également des rives préservant des habitats variés pour toutes les espèces formant la chaîne alimentaire. Ils ne veulent donc pas de cours d’eau canalisé.

Pour en arriver à l’entretien proprement dit, nous allons considérer que l’objectif à atteindre est de limiter l’érosion dans les zones éloignées du seuil tout en satisfaisant les pêcheurs et les défenseurs de la nature et des sites. Celui-ci a toutes chances d’être atteint si la ripisylve est en bon état. La ripisylve correspond aux formations végétales riveraines d’un milieu aquatique. La résistance des berges aux phénomènes d’érosion augmente en fonction de la nature et de l’importance du couvert végétal riverain.

Abordons les mesures préventives que l’on peut conseiller aux nouveaux propriétaires. Il leur faudra éviter :
– d’engager des opérations brutales et irréfléchies susceptibles de remettre en cause l’équilibre atteint par la rivière. Il n’est pas forcément mauvais. Pour un riverain qui découvre une rivière, il est bon d’observer quelques mois, voire une année, avant d’engager des travaux importants sur les rives.
– de faucher régulièrement et au plus proche du sol la strate herbacée qui, par le tapis dense qu’elle forme en bordure de cours d’eau limite les problèmes d’érosion liés aux phénomènes de ruissellement et participe à la protection de la couche superficielle du sol.
– de déverser leurs produits de coupe et déchets végétaux, ou gravats et matériaux de remblai en rive. Outre la formation d’encombres dans le cours d’eau à laquelle conduiront les branchages ou éléments divers dérivants, il est nécessaire de souligner qu’en aucun cas ce type de substrat ne peut permettre à une végétation naturelle adaptée de se développer et d’exercer pleinement son rôle de protection et stabilisation des sols. Bien au contraire, ce genre de matériaux ne facilite que la venue et la croissance d’essences rudérales (Ronces, Orties, etc.) ou invasives (Renouée du Japon, etc..) non souhaitables.
– d’installer à titre permanent des clôtures grillagées trop proches du sommet de berge qui seront arrachées lors des inondations ou participeront à piéger les branchages dérivant. Les poteaux créeront des trous qui abîmeront le sol. Se souvenir que les inondations ne surviennent pas chaque année mais qu’il est rare que les terrains d’un moulin en soient totalement à l’abri.
– de mener des traitements chimiques en berge qui tueront les plantes de rives. De plus, la plupart de ces produits sont interdits en bordure des rivières parce qu’ils nuisent aux poissons et à la faune.
– de retirer les embâcles bien ancrés dans le lit du cours d’eau qui participent à son attractivité en jouant le rôle de cache et d’abri pour les poissons. Le curage d’une rivière doit se limiter à l’enlèvement des atterrissements, s’ils présentent des inconvénients, et des embâcles susceptibles de dériver et participer à la mise en péril d’un ouvrage d’art particulier (vanne, pont, etc.).
– d’engager des travaux de recalibrage du cours d’eau.

Par contre, il faudra :
– Tronçonner à la base et dévitaliser (afin qu’ils ne produisent pas de rejets) les cultivars de peupliers plantés à proximité des berges. Ces cultivars n’ont pas leur place dans les boisements riverains et leur présence concourt le plus souvent à la dégradation des berges. En effet, outre le fait que ces essences constituent certainement les plus grands producteurs de branches mortes et donc d’embâcles dans les cours d’eau, ils se déchaussent aisément en raison de leur grande portance au vent et de leur enracinement superficiel, créant ainsi par leur basculement de larges encoches d’érosion. Comme toute essence exotique, ils représentent encore des concurrents implacables vis-à-vis de la flore indigène. Des phénomènes d’allélopathie (action d’inhiber la croissance ou la germination d’essences végétales à proximité) ont ainsi été mis en évidence lors de la décomposition des feuilles de peupliers. La toxicité de celles-ci est aussi bien connue d’un point de vue piscicole. Par ailleurs, lorsque des végétaux ligneux parviennent tout de même à se développer en milieu riverain aux côtés des cultivars de peupliers, ceux-ci produisent un tel ombrage que souvent ces sujets ne trouvent la lumière nécessaire à leur croissance qu’en grandissant en surplomb audessus du cours d’eau. Leur propre stabilité devient alors précaire. Par leurs impacts sur leur environnement, leur capacité à se multiplier végétativement et à proliférer, les cultivars de peupliers sont des essences redoutables en bordure de cours d’eau dont l’expansion doit être stoppée. – Abattre également les épicéas qui forment des litières acides qui affectent la vie aquatique et dont les effets sont très néfastes à la stabilité des berges.
– Abattre ou élaguer les arbres dont le port penché vers le cours d’eau inquiète.
– Faucarder les herbes et les algues en évitant d’ensemencer l’aval de la rivière. En cas de risque d’eutrophisation, on pourra laisser plus de couverture à la rivière afin de limiter l’éclairement. De plus, il faudra augmenter le débit d’eau dans le canal d’amenée afin de réduire la température.
– Lutter contre des plantes non indigènes indésirables sur les cours d’eau car leur développement rapide nuit à la diversité souhaitée. Citons, parmi les plus connues, des espèces herbacées telles que la Renouée du Japon, les Verges d’or originaires d’Amérique du Nord, la Balsamine géante originaire de l’Himalaya, ou encore en ce qui concerne les sujets ligneux : le Buddleja de David (surnommé “l’arbre à papillons”, le Robinier faux acacia, l’Erable negundo qui représentent des concurrents imbattables face à la flore indigène (espèce développant leur cycle végétatif au sein de leur aire biogéographique naturelle), et dont le pouvoir de protection et de stabilisation du sol est généralement mauvais.
– Piéger un certain nombre de nuisibles. Les ragondins et les rats musqués, en creusant leurs terriers, favorisent l’effondrement des berges. On pourra même se débarrasser des taupes dont les galeries renforcent l’action de l’eau.

On peut aussi considérer comme préventif :
– d’ensemencer et planter des saules dans les zones nues. Il existe un grand nombre de variétés de saules. On sélectionnera les essences parmi les saules indigènes bien adaptés au milieu.
– de planter également des aulnes et frênes.
– de construire des murs dans les zones proches des roues où la vitesse de l’eau interdit de laisser les berges sans protection. On évitera d’utiliser tout matériau inesthétique du type palplanches, poteaux électriques de récupération, tôles, grillages au profit de pierres taillées.
– de prévenir les phénomènes d’érosion se développant naturellement en berge concave en tronçonnant à la base l’ensemble des arbres de diamètre important et dépourvus de végétation buissonnante périphérique en pied de berge qui favorisent tourbillons et remous en période de crue, néfastes à la stabilité des talus riverains.
– d’éliminer les dépôts et plantes des berges convexes qui au fil du temps réduisent la section de la rivière. Pour la gestion de la végétation des bords de cours d’eau, on pourra lire avec intérêt un certain nombre d’ouvrages réalisés par les Agences de l’Eau. Celui de l’Agence Rhin-Meuse semble le plus complet (3).

Enfin, si les effets de l’érosion sont déjà visibles, on devra, selon leur importance, les enjeux, le débit et la vitesse du cours d’eau, réaliser des travaux de consolidation ou de réfection des berges. Pour leur réalisation, on consultera en particulier le Guide de Bernard Lachat (4).L’auteur prône l’utilisation du “génie végétal”, ensemble de techniques qui permettent de consolider les sols et protéger des secteurs riverains de l’érosion en utilisant la capacité racinaire des végétaux ainsi que la souplesse de leurs tiges externes pour participer à la dissipation de l’énergie hydraulique. Il s’agit de techniques qui ont déjà fait leurs preuves au cours de ces deux dernières décennies sur bon nombre de cours d’eau français et satisfont également les écologistes puisqu’elles favorisent la restauration d’un couvert végétal riverain (corridor écologique, rôle d’épuration de l’eau joué par les végétaux, etc.). Il n’est pas question ici de faire un résumé de cet ouvrage assez technique qui s’applique particulièrement aux rivières de vitesse moyenne. Pour des rivières plus actives, des techniques mixtes peuvent être retenues : blocs de pierre en partie basse et techniques végétales au-dessus. A partir de la connaissance nécessaire du milieu, l’auteur indique les périodes les plus favorables aux travaux, les essences d’arbres et les différents moyens pouvant être utilisés : boutures, tressages, fascines, couches de branches, peignes, ensemencement des berges, caissons végétalisés à double paroi, etc. Des schémas explicatifs facilitent le passage à l’action. L’ouvrage propose également d’utiliser des matériaux biodégradables comme les filets de jute ou de coco pour protéger les sols de l’érosion avant la reprise des végétaux.

Ces géotextiles se présentent sous la forme de treillis tissés de manière à pouvoir être traversés aisément par les herbacées semées et ne pas étouffer au collier les ligneux qui se développent. Au bout de un à trois ans selon les types de géotextiles, ceux-ci se dégradent. Ils existent en plusieurs qualités allant de 500 à 1 000g/m2. Les filets lourds en coco sont particulièrement indiqués pour la protection des berges des rivières. Parmi les fournisseurs de ces matériaux, on peut citer les sociétés Agrijute- Dumarché (5), EURO-TEC (6), SO.GE.BIO (7). Il faut signaler que Monsieur Lachat dirige deux bureaux d’études spécialisés dans la restauration des cours d’eau, canaux, étangs et milieux humides. L’un est en Suisse, l’autre à Lyon, en France (BIOTEC) (8) qui appliquent ses recommandations pour la restauration des berges. Nos lecteurs peuvent signaler leur existence aux administrations diverses qui veulent entreprendre des travaux.

Pour certains travaux, on pourra faire appel à des revêtements renforcés par des fibres en polypropylène voire métalliques, donc non dégradables, diffusés par France Gabion (9). Ces matériaux n’apportent naturellement pas la même réponse aux demandes des écologistes. Enfin, on pourra utiliser des gabions remplis de pierres. Cette technique nécessite des moyens lourds dont nos lecteurs ne disposent généralement pas.

(1) Cahiers de l’Environnement N° 1 Direction de l’eau, de la prévention des pollutions et des risques. (2) Guide technique N° 2 réalisé pour le SDAGE du Bassin Méditerranée Corse intitulé « Détermination de l’espace de liberté des cours d’eau » (3) Agence de l’Eau Rhin-Meuse – Rozérieulles –BP 30019 – 57161 Moulins-les-Metz (4) Guide de Protection des berges de cours d’eau en techniques végétales » de Bernard Lachat. On peut se le procurer auprès du Ministère de l’aménagement du territoire et de l’environnement. (5) AGRIJUTE-DUMARCHÉ, 1 rue des Renardières – BP 9 – 60690 – Roy- Boissy 

Gérard Gau Avec la collaboration de Monsieur Debiais de la Société Biotec que nous remercions – Article paru dans le Monde des Moulins – N°2 – septembre 2002

Catégories : Législation

2 commentaires

Chevallier · 9 novembre 2022 à 11 h 44 min

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