Le site des Moulins de France
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Les carrières de La Salle sont traversées par un petit cours d’eau, la Valdange, affluent de la Meurthe, qui sépare de cette manière les « Petites Fossottes » de la rive gauche, des
« Grandes Fossottes » sur la rive droite. Une des carrières, dite contemporaine, a servi à la reconstruction des maisons et des routes après les destructions de la première et de la seconde guerre mondiale, et son exploitation a pris fin en 1967. Des blocs, pour la construction, et des pavés ont été extraits de cette carrière à ciel ouvert, laissant aujourd’hui un important « amphithéâtre » naturel dans cette pierre locale : la rhyolite. Cette vaste carrière a très certainement fait disparaître de nombreuses carrières antiques repérées anciennement par des érudits locaux. Un des premiers, pour ne pas dire l’inventeur de ce gisement, est Nicolas-François Gravier1, qui repère, sur plus de 30 hectares, de nombreuses fosses et des débris d’ébauches de meules, dans les années 1820-1830. Il faut attendre 2007 pour que de véritables fouilles archéologiques soient entreprises, sur trois ans, jusqu’en 2009, dans une de ces carrières, à la suite de prospections et repérages des lieux. Cette première étape de prospections pédestres permet d’inventorier une trentaine de carrières de forme circulaire ou semi-circulaire de 4 à 25 mètres de diamètre, visibles sur le terrain, sur plus de 22 hectares2. Actuellement sous couvert forestier, ces structures liées à l’exploitation du gisement de rhyolite sont encore très bien conservées. Une prospection géophysique s’est également déroulée dans les champs, en périphérie des carrières et a mis en avant la présence de fosses, certainement des carrières, aujourd’hui comblées. L’année 2007 est également marquée par la publication de la typologie des meules en rhyolite des Fossottes, à la suite de la reprise du corpus de meules découvertes sur des gisements en Lorraine, et entreposées dans les musées ou dépôts archéologiques3.

Fig.1 : Les carrières antiques des Fossottes

 

Le contexte archéologique

Les carrières antiques des Fossottes se trouvent au centre d’un important réseau de sites de hauteur occupés pour certains à la fin du premier âge du Fer (Hallstatt D2-D3), à la fin du second âge du Fer (la Tène D), et pendant la période romaine4. Ces gisements, du bassin de Saint-Dié ou de la Haute Meurthe, correspondent à des plateaux de hauteur de type éperon-barrés ou à enceintes sommitales. D’une superficie moyenne de 3 hectares, pour une altitude moyenne de 530 mètres, ces castra, qui se fortifient certainement au cours de la Tène D ont livré de nombreux artéfacts entreposés et exposés pour certains, au musée municipal Pierre-Noël de Saint-Dié-des-Vosges : le site de hauteur de la Bure, au lieu-dit « Tête de Villé », à l’extrémité occidentale du massif de l’Ormont, se trouve sur les communes de Saint-Dié-des-Vosges et d’Hurbache ; la Pierre d’Appel à Étival-Clairefontaine ; le Chastel de Taintrux ; la Corre à Housseras ; le Varrinchâtel, se situant à cheval sur les communes d’Étival-Clairefontaine et de Saint-Benoît-la-Chipotte etc.

Fig. 2 : Catillus laténien découvert au Chastel de Taintrux

Pour la période romaine, de nombreux sanctuaires, allant de la découverte de quelques stèles votives à des bassins sanctifiés, sont présents dans l’environnement immédiat des carrières de La Salle et de ses alentours. Il existe, dans le bassin de Saint-Dié et de ses environs, de nombreuses découvertes lapidaires liées au culte du dieu Mercure. D’autres types de sites archéologiques sont connus dans le secteur des Fossottes comme très certainement une nécropole, pour la période romaine, à Saint-Jean-d’Ormont, ou encore à Housseras. Et bien d’autres stations, que nous ne pouvons pas aborder traiter dans cet article. Mais les prospections pédestres, réalisées aux abords même des sites de hauteur, permettent de relever la présence de nombreuses mines, mines effondrées et/ou minières dans les versants de ces sites.

Fig.3 : Mine de Trépoux Voirin, minerai de fer, et minière à Marzelay

 

Les productions de meules à grains des Fossottes

En 2007, les carrières de meules à grains en rhyolite des Fossottes sortent de l’oubli et du silence, grâce à une publication sur ces productions de La Salle, tirée des collections de musées et de dépôts archéologiques en Lorraine, par Jean-Paul Lagadec, enseignant et archéologue. Il ressort de ce travail une typologie établie sur les différentes productions de meules en rhyolite de La Salle, ainsi qu’une synthèse réalisée sur la diffusion de ces meules d’après les différents gisements archéologiques lorrains5. En juillet de cette même année, s’ouvre le premier chantier de fouilles archéologiques programmées sur ce site, dirigé par Mme Virginie Farget, doctorante à l’université de Paris I et membre du groupe meule ENS-Paris. Ces travaux déboucheront sur plusieurs articles et interventions dans des colloques. À partir de 2009 et le dernier chantier de fouilles, les carrières des Fossottes vont retomber peu à peu dans l’oubli. Avec l’accord préalable de Mme Virginie Farget, l’auteur de cet article va reprendre et tenir un inventaire de meules (produits finis) et d’ébauches (meules en cours de taille) en rhyolite des Fossottes des gisements locaux, qui ont fourni de nombreuses meules lors des différentes fouilles programmées, ainsi que les diverses collections privées et les ébauches trouvées lors de découvertes fortuites. Pour cet article, ce sont 130 meules et ébauches de meules qui ont été mesurées et en partie photographiées, soit 55 meules conservées en partie ou dans leur quasi-totalité, et 75 ébauches. À cet inventaire s’ajoutent les 17 mortiers en rhyolite et ébauches de mortiers qui ont pu être répertoriés. Les ébauches sont des meules ou des mortiers qui ont été abandonnés en cours de taille, à la suite d’un défaut de la roche, à l’endroit même de leur fabrication en carrière, ou dans des ateliers spécialisés de tailleurs de pierre se trouvant aux alentours des Fossottes. À la suite de ce travail d’inventaire, une autre production est mise en avant aux Fossottes, avec la découverte de deux ou trois ébauches de meules en grès. Ces ébauches auraient été acheminées au sein des carrières de La Salle, pour ensuite être taillées et très certainement quitter les Fossottes sous forme de produits finis.

La Rhyolite des Fossottes

La rhyolite des Fossottes, cette roche volcanique formée à partir d’une lave visqueuse remontée à la surface6, est caractérisée par l’abondance de cristaux de quartz pluri-millimétriques bien visibles à l’œil nu. Actuellement, ce filon de rhyolite affleure en surface et s’étendrait sur plus de 110 hectares7. Cette roche de nature porphyrique, possédant de nombreuses qualités et des caractéristiques micro-morphologiques uniques retient donc l’attention de ceux qui l’exploiteront pendant plusieurs siècles pour la mouture. Les productions meulières en grès, ou pierre de sable, seront plus marginales, dans notre secteur, contrairement à celles en rhyolite. Au moment de la découverte de ce gisement, dans le premier tiers du XIXe siècle, Nicolas-François Gravier fait état de carrières présentes et visibles sur plus de 30 hectares. Lorsqu’un visiteur lambda se rend aujourd’hui sur le site, il peut apercevoir une trentaine de fosses sur plus de 22 hectares et, sous couvert forestier, ce qui peut expliquer leur excellent état de conservation actuelle8. L’auteur note également la présence de nombreux fragments de meules et d’éclats de taille. Les trois années de fouilles programmées, qui se sont tenues de 2007 à 2009, permettront la découverte de quelques ébauches de meules et d’un nombre incalculable de fragments issus de l’exploitation dudit gisement. L’étude de ces déchets de taille, ainsi que la réalisation d’un moulin rotatif laténien par un tailleur de pierre, a permis, par comparaison, la réalisation d’une typologie de ces éclats.

Fig. 4 : Moulin rotatif laténien reconstitué, en rhyolithe des Fossottes

Les meules plates dites à va-et-vient

L’une des premières productions de meules à grains en rhyolite des Fossottes serait caractérisée par la fabrication de meules dites à va-et-vient. Ce type de meule est connu depuis la haute antiquité et même depuis la préhistoire. Nous pouvons noter, au passage, qu’une meule plate en grès a été découverte sur le site de hauteur de la Bure ; elle daterait très certainement du néolithique final, comme la plupart du mobilier lithique en silex de ce gisement9. Une meule plate est constituée d’une pierre dormante, sur laquelle le grain peut être posé, pour ensuite être écrasé à l’aide d’une seconde pierre que l’on appelle une molette. À La Salle, il existerait 12 types de meules à va-et-vient possédant un profil en V, en U ou rectangulaire, datées du Hallstatt D2-D310. L’étude de huit meules à va-et-vient découvertes sur les sites de hauteur du bassin de Saint-Dié (une meule au Chastel11, deux à la Pierre-d’Appel, deux à Varrinchâtel) et de trois ébauches découvertes aux Fossottes, a permis d’obtenir les cotes moyennes suivantes :
hauteur 0,13 m, longueur 0,34 m, largeur 0,23 m. Le profil particulier de ces meules s’expliquerait par l’utilisation de cet ustensile que l’on poserait sur les genoux, sur le sol ou encore sur un socle prévu à cet effet.

Fig.5 : Ébauche de meule à va-et-vient

 

Les moulins rotatifs laténiens

Le moulin rotatif est constitué de deux pierres en rhyolite, d’une meule dormante ou meule inférieure (la meta) et d’une meule tournante ou meule supérieure (le catillus). Ce type de meules constitue une véritable évolution technologique dans la production meulière. Le grain est toujours écrasé entre deux pierres, mais cette fois-ci, le catillus, actionné à l’aide d’une poignée latérale, est fixé à la meta par un axe de rotation. La production des Fossottes remonterait à la Tène D et serait constituée par trois types de catillus différents et quatre types de meta bien distincts12. Les gisements qui fournissent, à l’échelle locale, des exemples de moulins rotatifs laténiens, catillus et meta confondus, sont les sites de hauteur de la Bure, de la Pierre-d’Appel et du Chastel. L’étude de ces meules rotatives nous donne les valeurs moyennes suivantes : pour les catillus, un diamètre de 0,35 m et une hauteur de 0,20 m ; pour les meta, un diamètre de 0,35 m et une hauteur de 0,13 m. Ces chiffres sont à prendre avec précaution car du fait que les mesures soient prises sur un grand corpus de meules issues de sites de consommation, ces valeurs avancées sont, en réalité, biaisées du fait de l’usure liée au fonctionnement du moulin rotatif.
L’archéologie expérimentale permet d’approcher la technique de mouture du grain grâce à un moulin rotatif laténien de type 7, reconstitué pour l’occasion par un tailleur de pierre. Le diamètre moyen (de 0,35 m) et le système de fixation de la poignée latérale du catillus correspondraient à une utilisation « ergonomique » de cet outil.

Les moulins rotatifs de la période romaine

Les moulins rotatifs de cette période sont également constitués de deux pierres : la meta et le catillus. À cette période, on s’aperçoit que la production de meules va se standardiser pour ne fabriquer qu’un seul type de meta et quatre types de catillus13. Ce que nous pouvons remarquer, c’est qu’à première vue, ces moulins vont avoir un diamètre plus conséquent que leurs successeurs laténiens, ainsi qu’une hauteur moins importante. La table de mouture est donc plus grande que celle d’un moulin rotatif laténien et permet ainsi de moudre plus de farine. L’œillard, quant à lui, ou l’axe de rotation du catillus ne possédera pas le même profil qu’un catillus laténien. Les valeurs moyennes relevées sont les suivantes :
diamètre de 0,42 m et, hauteur de 0,15 m pour la meta ; diamètre de 0,44 m et hauteur de
0,13 m pour le catillus. Nous pouvons noter qu’un seul site, la Bure à Saint-Dié-des-Vosges, fournit des exemples de moulins rotatifs pour la période romaine.

Fig. 6 : Moulin rotatif laténien (à gauche) et meule à va-et-vient (à droite),

 

Les autres productions des Fossottes

La reprise de l’inventaire et du recensement de ces meules ou ébauches de meules dans le cadre de cet article nous a permis d’entrevoir les autres productions des Fossottes14. En tout, ce sont 17 mortiers ou ébauches de mortiers en rhyolite qui ont pu être approchés dans cette étude. Les valeurs moyennes obtenues sont les suivantes : hauteur 0,09 m, diamètre 0,22 m. Ces mortiers ont pour la plupart un profil en U, ou pour certains un profil en H pour les mortiers doubles.

Fig.7 : Ébauche de catillus de la période romaine

Pour en revenir aux carrières antiques des Fossottes, trois ébauches de meules en grès ont été repérées sur le terrain. Ces ébauches auraient été retrouvées au cœur des carrières. La découverte à certains endroits de meules en cours de taille en plus ou moins grand nombre, comme à la sortie du village de La Salle en direction de Saint-Rémy, rue du Calvaire, ou aux « Champs Jolliot » à La Salle, ou encore aux « Petites Fossottes », permet certainement d’affirmer la présence d’ateliers de taille de pierre à proximité des carrières. Les fouilles archéologiques programmées aux Fossottes ont mis au jour une grande quantité de déchets de taille, les plus importants étant attribués à des carriers, et les plus petits à des tailleurs de pierre. Ce qui pourrait expliquer la présence de tailleurs de pierre aux côtés de carriers au sein même d’une unité d’exploitation. Ces tailleurs de pierre auraient pu, dans un premier temps, dégrossir ces ébauches pour les envoyer ensuite dans des ateliers spécialisés, non loin de là, où d’autres tailleurs se seraient contentés de faire les finitions15! La présence d’ébauches de meule en grès s’expliquerait par ce même phénomène. Les ébauches seraient en provenance d’un banc de grès, exploitable et exploité aux environs des carrières de La Salle, puis arriveraient aux Fossottes, où se trouvait une main d’œuvre qualifiée apte à transformer ces ébauches en produits finis.

Fig.8 : Ébauches de mortiers simple et double

Les réseaux de diffusion des productions des carrières antiques des Fossottes

L’étude des productions des Fossottes à travers les différents sites et gisements locaux de consommation qui ont fourni des meules à grains, en grande quantité, et des mortiers, ainsi que le travail réalisé sur l’inventaire des découvertes en région Lorraine par Jean-Paul Lagadec en 2007, permettent d’avancer quelques hypothèses de travail, quant aux réseaux de diffusion développés durant toute l’Antiquité. Si, à l’échelle du bassin de Saint-Dié, nous pouvons concevoir une diffusion via le système viaire en place, à l’échelle régionale, l’inventaire des gisements connus en 2007 démontre l’utilisation des fonds de vallée empruntés par les cours d’eau importants. L’existence de voies en bords de rive, sur les berges, est concevable. Pour le haut bassin de la Meurthe, la voie reliant les quelques petites agglomérations gallo-romaines connues, illustre parfaitement cette hypothèse. Nous trouvons aux bords de cette voie (axe nord-sud), en remontant l’actuelle rivière de la Meurthe, le sanctuaire voué à Hercule et l’agglomération antique de Deneuvre-Baccarat, puis celle de Marzelay et enfin de Saint-Dié-des-Vosges. Cette voie partirait ensuite en direction de certains cols vosgiens : Sainte-Marie-aux-Mines, Saales et le Bonhomme, et ferait donc le lien entre la plaine de Lorraine et la vallée du Rhin via la haute vallée de la Meurthe16. Une autre voie antique, tout aussi importante, la « Voids de Parupt », desservirait les Fossottes puis se dirigerait vers Saint-Dié via Herbaville, hameau de Saint-Michel-sur-Meurthe.

Fig.9 : Meule (=catillus) d’époque gauloise (la Tène D) réemployée dans le mur d’une maison

Aux voies de communications terrestres, peut s’ajouter le réseau fluvial : sur les cours d’eau importants et leurs affluents. Les voies navigables seraient alors empruntées par des embarcations de types divers, dont certaines, utilisées pour le transport de marchandises, sont retrouvées en Lorraine. Une dizaine de pirogues monoxyles sont connues pour la Moselle, ainsi que quelques radeaux, comme le confirme la découverte d’un flotteur de ce type d’embarcation à Flavigny-sur-Moselle17. Sur le terrain, il existe un lieu-dit « le Port » à Bourmont, hameau de Nompatelize, qui se situe à un peu moins de 5 kilomètres des Fossottes. Nous pouvons facilement imaginer que les productions des Fossottes, en partance pour la plaine de Lorraine, soient chargées sur des radeaux pour arriver sur leurs sites de consommation par cabotage. En plus, nous pouvons noter que, vu la faible distance qui sépare les carrières d’un supposé point de chute sur la Meurthe, ce trajet, sur un axe sud-ouest/nord-est correspond à une voie terrestre praticable encore aujourd’hui !

À l’échelle locale, la distribution des meules est assurée par l’utilisation des chemins carrossables, qui desservent les sites de hauteur du bassin Meurthe-Valdange, et ce toutes périodes confondues. Les différentes prospections menées depuis de nombreuses années ont mis en évidence les chemins d’accès à ces sites de hauteur, mais leur lien avec le réseau viaire antique, de crête ou de fonds de vallée, est parfois mal perçu.

Fig.10 : Site de hauteur fortifié du Chastel à Taintrux

Conclusion

Si, à une échelle plus importante, extra-locale et régionale, l’étude des productions des Fossottes permet de mettre en avant un commerce sur les voies navigables ou sur les routes terrestres de fonds de vallée, les meules en rhyolite de La Salle connaissent un fort attrait à la fin du premier âge du Fer (Hallstatt) et à la fin du second âge du Fer (la Tène). Des mesures ont certainement été prises par les élites locales, afin d’asseoir les productions en rhyolite du bassin de Saint-Dié face à d’autres centres de productions. L’étude des ébauches de meules, ces produits en cours de taille, trouvées à La Salle, dans les carrières ou chez des collectionneurs privés, ainsi que dans les villages environnants comme à la Bourgonce, Nompatelize, etc., permet d’approcher les différentes unités spécialisées qui s’organisèrent autour des carrières, comme les ateliers de tailleurs de pierre, certainement présents aux lieux-dits « Petit Pré » et « Vieux Champs ».

Depuis quelques années, les fouilles archéologiques préventives et programmées dans les différentes régions étudiées aux alentours (Alsace/Champagne-Ardenne/Bourgogne, etc.) ont fourni de nombreuses meules, dont certaines en rhyolite de La Salle, qui seraient intéressantes à traiter pour compléter ce corpus non exhaustif.

 

Bibliographie
L’auteur cite une abondante bibliographie : vous pouvez la demander par mail à la rédaction.
Notes indiquées dans le texte qui renvoient à la bibliographie :
1 Gravier 1836, p. 27
2 Farget 2008, p. 10-13
3 Lagadec 2007
4 Bouchet & Caumont 2000
5 Lagadec 2007
6 Lagadec & Triboulot 2006, p. 03-08
7 Boyer et alii 2006, p. 9
8 Farget 2008
9 Tronquart 1989, p. 8-12
10 Lagadec 2007, p. 9-18
11 Fombaron 2006, p. 11
12 Lagadec 2007, p. 23-30
13 Lagadec 2007, p. 31-40
14 Lagadec 2007, p. 41-42
15 Farget 2008, p. 11
16 Grau 2015, p. 23
17 Lagadec 1983

Jérémy GRACIO, archéologue
Président de l’Association Sentiers d’Histoires

Paru dans le Monde des Moulins n°74 d’octobre 2020

Catégories : Histoire

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