Située entre Dieppe et Fécamp, habitée dès l’époque mérovingienne, la cité se développe au Moyen-Âge en tirant profit de sa principale richesse naturelle : l’eau. Celle de la Manche, bien sûr, qui assure l’activité des pêcheurs, mais aussi celle de la Veules, le « plus petit fleuve de France », moteur de nombreux moulins exploités plus tard par tisserands et meuniers. À la Belle Époque, le village devient l’une des premières stations balnéaires du littoral normand.
Les Cressonnières – Veules-les-Roses – Photo DR
Par Joseph Poirier – le 02 oct. 2017
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